La découpe du méchoui de mouton Dorfolk, pour redonner des forces aux participants du tournoi de cricket...





La boxe


Michel Champliaud découvre la boxe anglaise et française dans les années 70, à Mante-la-Jolie. Il démarre une brillante carrière d'amateur et devient rapidement instructeur fédéral de boxe anglaise. Aujourd'hui, il s'entraine encore régulièrement avec son fils Guillaume.


Le rugby


Le rugby, passion depuis la plus tendre (dûre ?) enfance, à tel point que Michel organise plusieurs tournois lors de son épisode d'enseignant à Tournus. Il entraine l'équipe du lycée agricole et remporte le grand chelem à deux reprises.


La chasse


Quand approchent les brumes d'octobres, Michel sort son fusil pour limiter la prolifération des lièvres dans ses vignes. Mais en tant que fervent défenseur de la faune malgré lui, il revient souvent bredouille...


... et les autres

Mens sana in corpore sano... c'est le credo de Michel qui s'adonne régulièrement à des parties de tennis endiablées - il est d'ailleurs trésorier du club de Tournus -, des descentes vertigineuses en VTT et autres footings dominicaux. Car il faut bien éliminer les délicieux petits plats de Martine, son épouse...

Entre tournoi de cricket et de jeux celtiques, élevage
de mouton Dorfolk et de Setter irlandais, Michel
Champliaud n'a pas le temps de s'ennuyer
...





Le "Russell Trophy"

Aux alentours du mois d'août de chaque année, l'Echelette troque son existence paisible de domaine viticole contre une joyeuse agitation de fête forraine. C'est le temps du "Russell Trophy", tournoi international de cricket et de jeux celtiques. Lors d'un séjour à l'Echelette chez la famille Champliaud, l'écossais Sandy Russell - il a donné son nom à l'événement - eut l'idée de régler une fois pour toute le différend historique entre la France et Albion, à travers un tournoi entre Ecossais et Bourguignons.


STRIKE ! L'Ecosse face à la Bourgogne dans le parc du domaine

Sûr de son coup, il imposa le choix des armes : le cricket et les jeux de forces écossais. Mais ce n'était sans compter sur la combativité des Français et leurs alliés du monde entier (Saoudiens, Israeliens, Italiens, Belges...). Ainsi, à chaque mi-temps du match de cricket, les Allemands essaient d'affaiblir l'adversaire en ouvrant un tonneau de bière et en distribuant la boisson maltée aux participants. Seul problème, c'est que tout le monde en boit, et les Ecossais ripostent aussi sec avec une dégustation de boissons encore plus maltées, les whiskys venant tout droit des lacs et collines des Highlands.

Ceux qui tiennent encore debout après ces efforts - le cricket est un jeu éprouvant - se mesurent aux épreuves de tir à la corde et au "lumber throwing", le lancer de très très gros tronc d'arbres.

Heureusement que personne n'est susceptible, et les différentes rancoeurs sont rapidement enterrées en fin de journée. Car tout le monde sait que l'heure du repas approche à pas de loup. Pour rassasier la centaine de participants, Michel sacrifie un mouton de son élevage qui rotira et sera servi tout le long de la soirée, accompagné du vin du domaine. Ambiance festive oblige, la soirée se termine au petit matin, au son de musiques écossaises et de rock'n'roll frénétique. One two three four five o'clock rock...



L'élevage de mouton Dorfolk

Pour le Dorfolk, tout est de la faute à Napoléon ! En 1800, il décide le blocus continental, empêchant ainsi les Anglais de s'approvisionner en laine. Afin de contrer cette soudaine pénurie, ils mettent en place un programme d'amélioration des races ovines existantes. L'objectif est alors d'élever des moutons présentant une meilleure qualité de laine, en croisant la race Dorset avec celle des Suffolk.

Hasard des choses, si leur laine est de plus grande qualité, il en est de même pour leur viande qui est plus savoureuse que celle des autres races. Fort de ce constat, Michel Champliaud décide à son tour d'élever le Dorfolk en 1989, par pur plaisir. Aujourd'hui, l'élevage est constitué de 80 têtes et contribue à l'économie du domaine par les revenus sur la laine et la vente de viande.



L'élevage de setter irlandais

Michel Champliaud et les chiens, c'est une longue histoire qui remonte à son enfance où son père élevait déjà des bergers Baucerons. Le Setter irlandais a immédiatement séduit Michel, pour son caractère sportif, son intelligence, sa robustesse et sa gentillesse. Le Setter est un chien d'arrêt idéal pour les activités de chasse, même s'il n'est pas facile à dresser car très têtu et fougeux.

Si le chien est bien pris en main, il restera extrèmement loyal envers son maître et ne contestera jamais ses ordres s'ils ont été assimilés durant la période de dressage. Le setter est peu compliqué, il s'accomode de toutes nourritures et demeure un compagnon jovial et très affectueux. C'est un vrai bout-en-train, très joueur avec ses pairs et les enfants.

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